Seuil de tolérance où placer le curseur ?

Edwige


AVANT-PROPOS

"Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" 

(BdM PE-028)

Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction Supra-Mentale de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.

** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.


Quand il y a un effet boule de neige sur une nouvelle organisation physique, psychique, chimique et biologique en nous, cela crée moult désordres internes et externes aussi dérangeants les uns que les autres : fatigues intenses, détachements, incommunicabilité, besoin intense de silence, d’isolement, d’intériorisation…et... d'aversions diverses... ce sont "les interférences "

 

Quand s’estompent en nous croyances, illusions, conditionnements et autres béquilles qui nous maintenaient en survie… surgit "Le réel en soi" quel qu’en soit le prix...

 

Après l’exercice périlleux d’affirmation de soi et de son autorité propre dans le plus ardu des domaines : entourage proche, mari, conjoint, enfants, afin qu’ils cessent d'empieter sur vos plates-bandes et n’usent plus de divers petits et gros chantages émotionnant… on devient apte à s’attaquer à plus gros poissons: "Les pensées" 

 

Un bon moyen d’économiser son capital énergie : briser coûte que coûte « ce miroir déformant et cette famille illusoire » de personnages qui se reflètent dedans et dans tous nos recoins cellulaires, génétiques, généalogiques... Ceci afin d’éliminer toutes les entraves karmiques involutives dans notre vie actuelle.

 

Ça prend de l’insomnie, des suées nocturnes et diurnes, des bâillements intempestifs, des sautes d’humeurs… en prendre conscience dans "l’instant présent" est très thérapeutique et évolutif…

 

Ces désagréments peuvent être vécus "assez confortablement" s’ils sont soutenus par une hygiène de vie "élevante"… boire en abondance de l’eau "vivante" (de source ou purifiée), alimentation non industrielle, végétale et biologique, diverses activités physiques et créatrices, soins énergétiques sur les corps subtils, évitement des relations énergivores…etc.

 

En prime…. dans ce processus de conscientisation de sa propose astralité, où l’on mesure l’énergie à fournir pour s’en affranchir, le seuil de tolérance est rapidement atteint lorsque…. confronté à l’astralité d'autrui qui nous astralise par son inconscience… la solitude arrive comme un signe de capitulation a l’entrée dans le réel en soi. On est arrivé à un seuil de tolérance zéro contre l’involution d’autrui, véritable tests et oppositions sur le chemin de sa propre évolution… sans possibilité de retour en arrière, loin d’être une sinécure…

 

Julie à publié un jour une note pertinente sur l’astralisation des autres par les pensées et les paroles, il faut rajouter par les actes aussi

 

«Tâchons de ne pas astraliser les autres par nos pensées et nos paroles parasites, est-ce que ce que j’ai à dire apporte plus d’intelligence et aidera les autres à être plus libres? À élever leur taux vibratoire?".

 

Les interférences

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Le Réel en Soi

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Commentaires: 27
  • #1

    Josee (lundi, 29 avril 2019 03:16)

    "le seuil de tolérance est rapidement atteint lorsqu'on est confronté à l’astralité d'autrui qui nous astralise par son inconscience".
    L'ego, dans un moment de lucidité, repère facilement l'inconscience et l'astralité de l'autre. La lucidité peut lui être venue parce que la situation correspond à une force particulière que cet ego aurait acquise, ou bien parce que le taux vibratoire est en ascension et fait céder un voile. Lucide de l'autre, l'ego parfois s'insurge. S'insurge-t-il parce que ce dont il s'insurge l'astralise ou parce qu'il pressent la menace ou la possibilité d'un effet astralisant sur lui-même? L'ego lucide s'insurge contre l'autre pour rebalancer l'énergie, la sienne, en agissant sur celle de l'autre au moyen d'un choc. Et pourquoi ou dans quelles conditions l'énergie doit-elle être rebalancée dans une situation où l'autre manifeste de l'astralité ? Car ce ne peut être que dans certaines conditions ! C'est quand l'autre domine. Tu parles du chantage des enfants, de la lourdeur du mari, nos proches sont enclins à nous manipuler à leur insu. Si nous créons un choc au moment de leur attitude, nous brûlons un peu de notre propre karma, notre propre lien karmique avec eux. C'est important de ne pas y mettre d'émotion, ça empêcherait l'effet d'ordre. Si l'échange grimpe, le mental reste froid et centré. Le calme ne peut que s'instaurer. L'ego s'est respecté, il doit maintenant respecter l'autre qui vient lui aussi de vivre la froideur choquant de ce brassage mental.

  • #2

    Edwige (mardi, 30 avril 2019 06:06)

    L'ego, par l'effet du nettoyage de la lumière de l'énergie de l'esprit sur lui, gravit progressivement les barreaux de l'échelle du discernement. La désastralisation de ses corps subtils exacerbe sa sensibilité vibratoire car les voiles ténus de cette sensibilité s'affinent à chaque tests, évènements et oppositions en tous genres. Peu à peu l'ego se retrouve nu et transparent devant autrui vêtu de leur astralité épaisse.

    C'est cette nudité qui à une possible "astralisation" sur lui lors des tests... Mais ce dont il peut s'insurger c'est plus de l'effet de surprise des tests, alors qu'il avait baissé la garde, que des menaces sur lui lors de ces tests eux-même.

    L'égo ne s'insurge pas car, bien que sous l'effet de l'inattendu de la surprise, il va discerner ce qui vient du test pour lui et de l'astralité de l'autre. En agissant ou "réagissant" en adéquation avec son intelligence éthérique il va repérer dans son corps émotionnel ce qui est de la projection de l'autre et ce qui ne lui appartient pas… Tant pis si cet autre se retrouve dos au mur par le choc, c'est un pas de plus pour lui pour se remettre en question.

  • #3

    josee (mercredi, 11 septembre 2019 17:27)

    je sais pas toi mais moi il y a des phrases qui m'aident lors des montées de voix :
    "Ce que tu fais, c'est ce que tu as impérativement à faire."
    "Lâche prise de l'autre. Ce n'est pas de tes affaires comment l'autre pense."
    "Reste synthétique !" (ou elliptique, ou télégraphique) (pour me calmer entre les mots)
    "Garde le respect !"

    ceci dit, la gestion se fait pour soi pas pour l'autre. lors des montées de voix, il y a tellement de joueurs en place, pas juste les deux egos mais toutes leurs multiples personnalités (et parfois d'autres egos qui recevront le vidangeage astral de l'événement). Impossible donc d'avoir conscience des conséquences de notre comportement sur toutes ces sensibilités en mouvement sinon très en surface, un peu comme on entretient un minimum d'esprit de bon voisinage..

  • #4

    Edwige (mercredi, 11 septembre 2019 19:39)

    L'idée qu'aucune pensée, ni personne n'est toxique est intéressante en soi, cela sous-entend que dans un monde spirituel tout est bisounours et qu'on s'embrasse tous a chaque instant…
    Sauf que le propre des tests, qu'ils soient véhiculées par des pensées rebutantes ou des personnes vampiriques, donc toxiques, sont justement de mettre l'ego dans un tel inconfort psychique qu'il est obligé, arrivé à son seuil de tolérance, soit d'élever son curseur pour tolérer davantage, soit dire basta je me respecte en disant stop à l'empoisonnement… Là il y a action consciente de se respecter ou de continuer de ne pas se faire respecter…

    Les attitudes de vieux réflexes mémoriel de l’ego vont dans les deux sens, c'est à chacun de couper court à ces vieux réflexes en imposant une relation équitable et respectueuse.
    La certitude ou le doute d'être en processus de conscientisation des réflexes mémoriels n'empêche pas l'ego de ne plus supporter l'inconfort des toxicités qui le frappe tous azimuts.
    A cela, par volonté, il doit réagir quand il a atteint les limites de ses zones d'inconforts, à cela s'intègre progressivement la mémoire.
    Nous avons parfois une tendance masochiste à se pourrir soi-même la vie de façon inconsciente et dans l'involution cela sert les plans de bien des manières… Mais lorsqu'arrive le moindre signe de conscientisation c'est un des premiers réflexe naturel; abolir une à une toutes choses ou personnes qui empoisonnent cette vie car on ne se sent plus obligé de subir... et ne subissant plus on se détache de plus en plus… on ne diabolise ni ne juge plus non plus ce qui a servi à nous sortir de notre chrysalide, en gros on ne met pas au rebut de bons outils de travail sur soi… Ils deviennent moins toxiques au fur et à mesure que soi-même on n'est plus une éponge aux émotions mal gérées des autres

  • #5

    Edwige (samedi, 14 septembre 2019 13:17)

    réponse au post N° #3
    La gestion des circonvolutions dans notre parcours individuel, jusqu'au sommet de la conscience, prend des outils personnels à chacun…

    Pour ma part je n'ai que chaussures et bâtons de marche, le reste dans le sac à dos pour parer à la météo du ciel et du mental subjectif… tous deux toujours plein d'inattendus multiplicateurs de difficultés ou au contraire de facilités pour marcher… Ils aident ma conscience à agir sur les conséquences de mes comportements, tant à la montée qu'a la descente… La leçon que j'en tire au quotidien c'est savoir bien vivre l'instant présent dans une concentration absolue de là où je mets les pieds…

  • #6

    Edwige (samedi, 14 septembre 2019 13:56)

    éponse au post N° #4

    Comme dit précédemment la gestion des circonvolutions dans notre parcours individuel, jusqu'au sommet de la conscience, prend des outils personnels à chacun… ils dépendent de notre mental subjectif toujours plein d'inattendus multiplicateurs de difficultés à vivre cette criss de paix.

    En ce qui me concerne c'est en montagne sur les sentiers, sans quête du but, que j'habite le mieux une conscience et un jumeau qui ne demandent qu'à évoluer dans mes progressions continues.

    La leçon à tirer au quotidien c'est de savoir bien vivre l'instant présent dans une concentration et une flottaison à la fois compatibles et absolues afin que l'ego ne soit pas obligé d'ajuster perpétuellement son seuil de tolérance.

    C'est là une action consciente de se respecter et de réagir quand les limites de zones d'inconforts sont atteintes. On garde tout près son meilleur outils de travail qui est "le détachement", ou la séparation, de toutes choses ou personnes qui empoisonnent la vie, qui fait cesser d'être une éponge à des émotions qui ne nous appartiennent pas.

  • #7

    Josée (samedi, 05 octobre 2019 07:35)

    ton #4 est hautement intéressant. il est important de mettre le pied dans cette zone taboue du respect de soi dont tu parles... au lieu de se le mettre dans la bouche, le pied.
    c'est extrêmement nouveau de ne pas juger mes montées de voix, alors même que celles-ci non plus n'ont pas de kilométrage. les scrupules qui me baîllonaient jusqu'à cette année n'ont pas disparu quand le baîllon a cédé. je n'étais plus cachée dans du bon-nounours le sourire accroché aux oreilles, je me lâchais certes, mais je m'en sentais coupable et travaillais fort à redevenir bonne. en vain. maintenant, je sens qu'une vraie communication doit me réserver une alternance des moments d'intolérance et des moments de contenance. tout est programmé, tout est nécessaire, tout instruit, tout burine, tout est le petit fruit d'une chorégraphie sidérale dont non je ne suis pas le centre. c'est comme tu expliques une question de regard subjectif qui nous fera aborder l'échange avec telle ou telle attitude sacrée. vouloir être bonne personne est égocentrique. n'est pas égocentrique de voir en son propre mouvement d'énergie multidimensionnelle la chose à canaliser et concrétiser avec tout le support dont l'ego est capable considérant qu'il sera egocentrique jusqu'à sa mort.

  • #8

    Edwige (mardi, 15 octobre 2019 07:18)

    Vouloir être une bonne personne tient d'une polarité qui nous fait croire que nous sommes une mauvaise personne si on ne répond pas à toutes les demandes et sollicitations, même lorsqu'elles ne respectent pas notre individualité. Notre curseur de tolérance se règle avec ce non respect du besoin de retour à notre moi supérieur.

    Individualité n'est pas synonyme d'égocentricité, c'est encore une croyance erronée due à nos conditionnements à la générosité crasse spirituelle… Plus on s'enfonce dans le processus plus on devient individualisé, l'égocentrisme passe par le retour à soi et non à l'exclusion totale des autres.

  • #9

    josee (mardi, 15 octobre 2019 20:25)

    avant d'entrer en voie de fusion, la personne est souvent affublée d'un caractère de type individualiste.

    de plus le désir d'être une bonne personne est souvent poussé au maximum dans la phase préparative, pour démontrer à l'égo que cette avenue ne mène qu'à la déception. (l'égo s'y acharnera longtemps après avoir goûté à la certitude d'être entré en voie de fusion, tant il est découragé par l'involution et prêt à explorer ses réflexes jusqu'au bout pour s'en sortir.)

    mais la personne qui s'éthérise, et qui donc se sensibilise et se passionne pour la gestion de sa sensibilité, préfère être disponible à cette gestion psychique que maintenir l'ancienne fréquentation de ses proches. elle prend goût à la solitude.

    ainsi la personne en voie de fusion voit-elle l'originalité de ses goûts individualistes, qui la caractérisent, chevaucher son désir égocentrique d'obéir aux sollicitations extérieures et d'ainsi se poser comme bonne personne - à ses propres yeux.

    autrui n'est pas boycotté, ce serait heurter la nouvelle sensibilité de l'ego avec la brutalité de la polarisation. la tête n'adhère plus à des préceptes qui cote tout en blanc ou noir, la tête est occupée à gérer son choix du jour en suivant sa vibration.

  • #10

    Edwige (vendredi, 18 octobre 2019 11:03)

    Le champ relationnel se rétrécie par la force des choses, choses qui demandent de grandes plages de solitude pour ne pas se faire "disperser", pour rester "centré" dans le focus de sa relation avec son double…

    Autrui revient plus tard et doucement dans les parages, mais ce sont des autrui bien ciblés, qui ne font pas interférences avec la nouvelle vibration de ses corps subtils, son aura est vaccinée contre l'intrusion tous azimut de tous virus involutif…

  • #11

    josée (vendredi, 25 octobre 2019 22:03)

    la rencontre avec la personne jadis fréquentée permet d'avoir l'heure juste sur l'égocentrisme et le passéisme qu'on nourrit encore comme sur le stade d'éclosion qu'on a atteint.

  • #12

    josee (vendredi, 01 novembre 2019 13:36)

    ce n'est jamais de la faute de l'autre quand on souffre...

  • #13

    Edwige (samedi, 02 novembre 2019 08:22)

    Ce qui a été vécu dans une relation karmique, peut important le deuil de tolérance qui a amené a la rupture, nous a amené à nous acheminer vers d'autres relations, karstiques également, complétant ou fignolant ce qui a bien ou mal germé dans notre conscience.

    Nos souffrances dans ces relations sont le résultat d'expériences programmées… La seule faute, s'il faut qu'il y en ait eu, est de croire que nous sommes seuls responsables de la rupture d'une relation… l'autre est aussi acteur et partie prenante de cette rupture programmée en lui, mais on ne compte pas les points comme dans une partie de pétanque…

  • #14

    josee (lundi, 04 novembre 2019 01:52)

    la seule chose qui compte, c'est moi. l'autre est instrumentalisé dans ma programmation. tout ceci est vrai pour l'autre de son point de vue mais je ne m'arrête pas à ça. je ne m'arrête à aucune analyse de l'autre. je ne m'arrête à aucune analyse de moi-même. si le drame est petit, j'en profite et j'en fais un vidangeage réussi. bernard disait faites de votre épreuve une preuve. on sait les peurs qu'on charrie, on veut s'en défaire, donc on trouve intéressant de se confronter à une chance de travailler à n'y pas tomber. soyons ceux qui brisons la chaîne du jugement, au nom de notre paix.

  • #15

    Edwige (lundi, 04 novembre 2019 11:28)

    A force d'avoir été conditionnés au dévouement à autrui, nous n'avons même jamais su que nous existions.

    Deux programmations aveugles de la programmation de l'autre qui ont concourus à tous les abus et manquements au respect de soi et de l'autre. Qui ont concourus à tous les comblements de manques sans jamais être rassasiés.

    Donner à l'autre la preuve que nous existons c'est se révéler devant ses yeux, lui comme nous ne s'était jamais vu et il en fera autant.

    Que la scène qui lève le voile sur cette existence soit mélo ou dramato, l'important est que le videngeage qui en résulte soit accompli froidement sans se juger car là était la vibration du moment. La chaine est brisée, là arrive la paix…

  • #16

    josee (lundi, 04 novembre 2019 12:37)

    tout ce qui se déroule est l'accomplissement de la nécessité mais dans notre naïveté on n'en perçoit pas toutes les couches au niveau de la mentation. alors on peut tomber dans la forme fataliste de la tolérance. concernant la tolérance, il n'y a pas de formule universelle. bernard disait que des personnes occupées à faire l'étude du caractère d'un autre peuvent décider ensemble avec beaucoup d'amour, d'intelligence et de volonté, d'intervenir auprès de cet autre pour l'aider à briser son ego.

  • #17

    Edwige (mardi, 05 novembre 2019 03:37)

    Dans les couches et sous couches de nos mentations sont logés profondément des miasmes spirituels qui nous imposent d'étouffer notre intolérance et d'accepter ce qui et là au nom de la nécessité, au nom de la tolérance, au nom du fatalisme …

    On peut respecter l'esprit de l'autre on n'est pas obligé d'aimer son ego…

    Il n'y a aucun principe d'amour quand on ne tolère pas l'ego de l'autre tel qu'il est…

    C'est de la racine de l'intolérance que l'on peut avant tout briser l'orgueil et le narcissisme de notre ego avant celui de l'autre…

    L'amour est d'abord astral, il devient cosmique en son temps une fois débarrassé de toute l'astralité en soi…un énorme chantier…le plus grand de tous!

  • #18

    josee (mardi, 05 novembre 2019 22:18)

    pour intervenir aussi fortement contre la pétrification de l'ego d'un autre, ça prend des reins campés que je n'ai pas encore et si je tente de faire faire une prise de conscience à un ego pétrifié avant d'avoir les reins, je ne suis pas dans l'amour.
    ce n'est pas un principe que d'aider les autres. mais est-ce que n'est pas la conséquence vibratoire entre un taux vibratoire plus élevé et un un taux vibratoire moins élevé comme par vase communicants ?
    nous sommes à un stade de conscience oû nous sentons à la fois notre spiritualité et notre déspiritualisation, dans la spiritualité il y a la pulsion d'aider qui est narcissique et découle de notre impatience. il ne jamais se juger pour tous ces stades qui nous traversent.

  • #19

    Edwige (mercredi, 06 novembre 2019 23:54)

    L'amour ce n'est pas le cœur (encore une illusion spirituelle) … Le cœur n'est qu'un organe qui pulse a 80 battements par minutes pour faire fonctionner notre cerveau…

    Pour arriver au stade du principe de l'Amour il ne doit plus rester aucune trace de haine vis-à-vis de nos congénères "vivants"... ça n'a rien de commun avec la phrase spirituelle "Aimer son prochain" dans laquelle il n'y a aucune conscience de ce qu'est le vampirisme du subconscient humain par des entités astrales. Aimer les egos "vivants", objectivement et mentalement ce n'est pas aimer les parasites astraux qui les chevauchent, ils n'en ont pas conscience, comme tout en chacun avant d'en avoir pris conscience…

    Il n'y a aucun ego identique, nous avons tous été inféodés(e)s aux plus narcissiques et pervers d'entre-deux si ce fut notre programmation et notre karma… Les aimer, aimer ces humains et leur créativité ça signifie respecter le stade où ils en sont, sans bouleverser le chantier de leur programmation… On n'est pas obligés de vivre avec eux et de les aider… on doit au contraire les gommer de notre listing… "loin des yeux, loin du cœur"… c'est le processus de notre déspiritualisation, stade qui n'est pas à juger, refuser cette réalité empêche de brûler du karma…

    Bernard a préconisé la haine des vampires énergétiques du "monde de la mort", pas la haine du monde "vivant". Les vivants sont habités par des mémoires qui ne sont pas nettoyées et que le plan astral utilise pour les rendre confus et nous confusionner par la même occasion...

  • #20

    Josée (jeudi, 07 novembre 2019 15:43)

    "Pour arriver au stade du principe de l'Amour il ne doit plus rester aucune trace de haine vis-à-vis de nos congénères "vivants"... Les aimer, aimer ces humains et leur créativité ça signifie respecter le stade où ils en sont, sans bouleverser le chantier de leur programmation… On n'est pas obligés de vivre avec eux…"

    ces lignes semblent parler de mon histoire ici. nous avons acheté une maison dans la forêt. or, mons de dix ans plus tard, l'endroit résonne des litanies stridentes et in-terminables des scies à chaînes quand ce n'est pas des bruits typiques des camions remorques que je déteste tant "dans mon cœur",

    en effet, la forêt ne cesse de se subdiviser et de se vendre à des bûcherons amateurs dont plusieurs sont camionneurs... alors même que bûcherons ET camionneurs m'avaient fait passer de très mauvais quarts d'heure dans ma jeunesse écervelée.

    le dépassement de mon seuil de tolérance était devenu un filtre sur mes journées qui agissait directement sur mes 80 battements minute, et drastiquement. j'en ai pleuré souvent. quant à haïr, alors là, j'ai haï très souvent. j'ai voulu m'exprimer mais j'avais l'ego trop encombré pour me faire comprendre. j'étais astralisée à interpréter cette réinvasion de scies et de camions trente ans après comme de la cruauté du destin, qui me faisait revivre sonorement ce que j'avais subi intimement.

    à part déménager, je savais qu'il n'y avait qu'une issue : le respect, le don à autrui de son droit d'exister, mais je demeurais raccordée aux sons par le cœur.

    et puis j'ai commencé à décider de m'aimer. c'est l'issue qui s'est retrouvée autour de moi plus que moi qui suis entrée dedans.

    épilogue, je souffre beaucoup moins. pourquoi ? le lien mémoriel s'estompe.

  • #21

    Edwige (dimanche, 10 novembre 2019 09:01)

    Ces lignes parlent de nos histoires a tous, particulièrement celle des femmes…

    Comment dans notre inconscience ne pouvions-nous pas haïr nos abuseurs et nous haïr nous-même par cette occasion?. Cette haine fut nécessaire, elle était notre école d'entrainement à la haine et à la colère contre des forces occultes mortifères.

    Commencer à décider de s'aimer vient quand la lumière fait jour sur les expériences, les chocs à l'âme, les chocs a l'ego etc…

    La compréhension des tenants et des aboutissants de ces souffrances psychologiques nous ont finalement menées vers l'instruction vibratoire de Bernard. Cette compréhension vibratoire à balayé la mémoire des évènements pour n'en conserver que la réalisation que le programme choisit dans notre plan de vie s'est déroulé parfaitement, pour en arriver où nous en sommes, droits dans nos bottes… La conscience en bonus.

  • #22

    josée (dimanche, 10 novembre 2019 14:49)

    mets toi droit dans tes bottes et ton moi supérieur va rentrer, il va descendre, droit dans tes bottes.
    c'est une occupation à plein temps qui va en s'approfondissant de rebondissement en rebondissement, retournant les pierres et surtout celles qui hypnotisent et nous font oublier de les retourner pour en révéler l'irréalité.
    le programme, il faut le suivre incluant lorsqu'il nous lance à l'assaut de son implaccabilité. notre relation au programme est gérée en fonction d'un thermomètre dont heureusement nous disposons : l'émotion. quand celle ci tombe sous zéro, faut se secouer.

  • #23

    Edwige (jeudi, 14 novembre 2019 10:04)

    Il semblerait que la planète terre est unique dans son genre car elle serait la seule à expérimenter l'émotion, dans son programme, avec un corps émotionnel relié aux expériences de l'âme et aux expériences de l'ego qui forge son caractère et son tempérament… C'est ce qui rend chaque humain unique et différent m^me s'i n'a pas beaucoup de tolérance pour les changements qui le perturbe.

    L'émotion est porteuse d'une énergie atomique colossale mais polarisée.

    L'expériences de toute la gamme des émotions nous permettra de n'en conserver que l'énergie dépolarisée, transmutée en volonté supérieure qui fera de nous de véritables créateurs; c’est-à-dire dans la volonté de matérialiser ses pensées, ses besoins par la pensée principalement, y compris de se déplacer, de se téléreporter.

  • #24

    Josée (vendredi, 15 novembre 2019 14:56)

    soria, que j'ai beaucoup étudié il y a 15-20 ans, est supposé être une des sphères spirituelles qui nous ont créé.

    ils racontent que la fusion est de lot de tous les êtres dans l'espace temps, eux compris, mais sans obstacle ! et sans matière organique !

    ils disent qu'ils nous "suffit" de tasser cette 3e partie qui coupe le contact pour que fusionnent les 2 autres parties, qui disent-ils sont notre esprit solaire et notre esprit atomique.

    l'esprit solaire ayant vécu depuis l'aube des temps et étant aussi rigoureux que tout puissant. l'esprit atomique naissant à chaque seconde et étant aussi créatif que volatile.

    voilà, je rajoute ces quelques références à la marmite mais sans chercher la cohérence. je jurerais que tout fu fait pour confondre notre rationalité. la matière, les forces de vie, les forces de la nature, le temps, les esprits de la forme, le don d'émotion, rien ne trouve sa juste place et le casse-tête n'avance pas.

    nos tuteurs sont très présents. les notions de bien et de mal ont aussi pollué notre capacité intellectuelle. tu connais l'histoire de la belle au bois dormant ? sept marraines fées sont passées au dessus de son berceau pour lui transmettre leurs pouvoirs mais la 7e lui a donné un interdit, comme dieu à adam et ève. évidemment, l'interdit est toujours transgressé, ça dramatise. la belle tomba au bois dormant jusqu'au jour oû l'amour la sortit du sommeil.

  • #25

    josee (vendredi, 15 novembre 2019 15:08)

    je vois que j'ai écrit que "les notions de bien et de mal ont aussi pollué notre capacité intellectuelle." et ça me frappe : c'est là et uniquement là que se niche notre programmation de la polarisation.
    avant l'intellect, c.a.d. avant la création du mental inférieur il y a 160 000 ans, il n'y avait pas de polarisation psychique à aucun endroit sur le plan mental. il n'y avait qu'une polarisation au niveau de toutes les forces d'attraction matérielle à toutes les échelles.
    la polarisation est une invention impitoyable une fois transférée dans la psyché d'une race expérimentale. nions le droit des tuteurs de nous l'imposer et restaurons notre capacité émotionnelle.

  • #26

    Josée (vendredi, 15 novembre 2019 15:10)

    détruire la polarisation par la force de notre volonté 'être neutre, voilà où on va commencer la très attendue "matérialisation de nos besoins".

  • #27

    Josée (vendredi, 07 mai 2021 15:17)

    déjà une bonne chose dans le fait d'etre confronté à ce qui n'est pas endurable pour nous, c'est que l'orgueil fait sentir qu'il existe. on vit l'enfer quand on subit plus ou moins passivement notre propre intolérance, parce qu'on est en contact direct avec l'essence de l'egocentrisme